Actualité environnement
Les téléphones portables se mettent timidement au vert
Le Congrès mondial de la téléphonie mobile s'est tenu cette semaine à Barcelone. L'occasion de découvrir quelques nouveaux modèles plus soucieux de l'environnement, notamment grâce à l'énergie solaire. Mais les efforts sont encore limités en nombre et souvent réduits à des initiatives pour mieux séduire les pays émergents.
D'ici 2012, les principaux poids lourds du marché de la téléphonie mobile se seront mis d'accord pour développer une seule et même prise pour recharger les portables. Les utilisateurs n'auront alors plus besoin que d'un seul chargeur. La fin d'un casse-tête pratique et d'un non-sens écologique. Mais il faudra attendre 2012. Un exemple qui confirme que l'exigence environnementale entre désormais mieux en ligne de compte pour les fabricants de portables... même si c'est encore par petites touches.
Lors du Congrès mondial de la téléphonie mobile qui s'est tenu cette semaine à Barcelone, un "pavillon des énergies vertes" est apparu cette année au Congrès. Mais il n'a rassemblé qu'une petite dizaine d'entreprises dans un minuscule espace.
Parmi les axes de recherche : l'énergie solaire. Samsung, avec le Blue Earth, LG et ZTE ont chacun de leur côté dévoilé des téléphones se rechargeant grâce au soleil. Mais cela ne représente qu'une goutte d'eau dans une gamme de plus en plus étoffée. Et le recours aux énergies renouvelables n'est souvent qu'un moyen de conquérir de nouveaux marchés.
Cap au sud en effet pour les constructeurs de téléphones portables qui cherchent désormais à vendre leurs produits dans des pays peu développés, où l'accès à l'électricité est réduit voire impossible. "L'industrie du mobile a trois motivations : c'est bon pour l'environnement, ça peut au final réduire leurs coûts et c'est bon pour leur image", note Annette Zimmermann, analyste chez Gartner, jugeant la deuxième raison la plus importante : "les réductions de coûts peuvent être significatives".
Source: Europe1.fr
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Etats-Unis: les émissions de CO2 cartographiées avec Google Earth
Une équipe de scientifiques américains a dévoilé jeudi une carte interactive de Google Earth montrant les émissions de CO2, provenant de la combustion d'hydrocarbures, sur l'ensemble des Etats-Unis.
Cette carte de haute précision est accessible sur un site internet (purdue.edu/eas/carbon/vulcan/GEarth/) de l'Université Purdue (Indiana, nord), qui a conduit ce projet.
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La Macédoine essaye de sauver le lynx des Balkans
La Macédoine tente de sauver le lynx des Balkans, l'un des symboles du pays, victime des braconniers et menacé d'extinction avec une population réduite aujourd'hui à quelques dizaines d'individus dans l'ensemble de la région.
Dans le parc national de Galicica, dans l'ouest du pays, non loin de la frontière avec l'Albanie, des caméras disposées à travers la montagne par la Société écologique de Macédoine observent le moindre mouvement du félin.
"Le lynx n'a pas d'autre ennemi naturel que l'homme", estime Georgi Ivanov, un écologiste chargé de recenser la population se déplaçant encore dans le parc.
Dix-neuf caméras en tout observent les habitudes de l'animal en liberté qui, avec les ours et le chamois, est l'une des espèces les plus gravement menacées dans le pays.
Selon les estimations, il ne reste plus qu'une quarantaine de lynx des Balkans encore en liberté dans les montagnes de Macédoine et d'Albanie, contre une centaine encore il y a moins de trois ans, un nombre indispensable pour assurer la reproduction de l'espèce.
Au Monténégro et au Kosovo voisins, on en compte une trentaine et l'animal a totalement disparu de Serbie.
"Cela s'explique principalement par la chasse illégale, la destruction incontrôlée des forêts et la pollution", explique à l'AFP Dime Melovski, un biologiste de la Société écologique de Macédoine. Mais l'animal dispose aussi d'un "faible potentiel reproductif".
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Le poêle à bois: danger ou alternative ?
Alliant véritable confort de chauffe selon l’isolation de la maison et besoins de chauffage, le poêle à bois est particulièrement simple à installer, puisqu’il suffit qu’il soit raccordé à un conduit d’évacuation.
De plus, son rendement est de 60% à 80%, en moyenne par rapport aux cheminées à foyer ouvert, dont le rendement né dépasse pas 20%. En effet, le poêles à bois permet une combustion rapide et la empérature de la pièce augmente en peu de temps.
Toutefois, depuis quelques temps, la question des émissions des particules générées par les poêles et leur impact sur l'environnement et la santé est vivement débattue.
Les anciens poêles à bois rejettent 40 à 80 grammes de fumée par heure tandis que les nouveaux appareils, conformes aux normes EPA, ne produisent que 2 à 5 grammes par heure!
Même le poêle le plus respectueux de la planète est source de pollution s'il est utilisé de façon incorrecte ou s'il est mal installé. Pour éviter la pollution par les particules et optimiser l'emploi du bois, il faut par exemple allumer et remplir le poêle de manière appropriée.
Ces polluants touchent particulièrement les jeunes enfants, les personnes âgées et celles aux prises avec des problèmes respiratoires.
Comme n'importe quel combustible, le bois qui brûle crée de la pollution (monoxyde de carbone, particules fines, dioxyde d'azote,composés organiques volatiles...). C'est aussi à l'utilisateur de faire en sorte que son poêle soit utilisé dans le respect de l'environnement et de ses proches.
"Un poêle à bois non certifié émet autant de particules fines en neuf heures d'utilisation qu'une voiture au Canada qui parcourt 18 000 km dans une année". André Germain, d'Environnement Canada.
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GreenDrive : un système GPS pour économiser du carburant et préserver l’environnement
Europe - GreenDrive est un nouveau système qui utilise la navigation par satellite pour aider les conducteurs à développer des techniques de conduite douces et sûres, permettant d'économiser entre 15 et 25 % d'essence. Une contribution supplémentaire pour l'environnement.
Aujourd'hui, beaucoup de véhicules allient hautes performances technologiques et économies d'énergie. Cependant, ces caractéristiques peuvent être compromises par le comportement d'un conducteur qui multiplie les accélérations et coups de frein brutaux.Deux inventeurs, le Suédois Alex Ackerman et Yossef Shiri d'Israël, ont créé le système Greendrive qui indique au conducteur où et quand freiner, accélérer ou garder la vitesse constante. Ce programme recueille toutes les informations allant de la marque du véhicule à la qualité de la route. Après leur déplacement, les utilisateurs peuvent regarder leurs statistiques sur le web et ainsi adapter leur style de conduite. Quatre paramètres affectent l'économie d'essence : le véhicule lui-même, les conditions de circulation, les limites de vitesse et, le plus important, le style de conduite. Yossef Shiri assure qu'avec ce système, "si vous conduisiez de manière agressive, vous pouvez économiser jusqu'à 50% de votre consommation".
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